Thérapies brèves à Boulogne-Billancourt : présentiel ou à distance

Ce qui importe pour réaliser nos objectifs, c’est que nos connaissances conviennent à notre réalité et non pas qu'elles lui correspondent.

En tant que thérapeute-coach, je propose des consultations en thérapie brève


À mesure que le stress augmente dans le monde d'aujourd'hui, des gens cherchent des façons de trouver un plus grand équilibre mental et émotionnel dans leur vie. Si génial soit Freud, il ne pouvait tout voir (à son époque), tout comprendre, tout guérir.


​De nouveaux explorateurs de la psyché se penchèrent donc sur les champs qui avaient été laissés en friche par la psychanalyse et concernant le mécanisme du trauma, le diagnostic, le remède, l'attitude du thérapeute etc...


​Les processus cognitifs et les comportements qui en découlent (les thérapies cognitives et comportementales ou TCC) :

  • la suggestion (l'hypnose éricksonienne) ;
  • le paradoxe (les psychothérapies familiales) ;
  • le besoin de sens (la logothérapie de Viktor Franck) ;
  • les sensations (la méthode Vittoz) ;
  • la construction de la réalité (la PNL) ;
  • les scénarios réglant les échanges de la vie quotidienne (l'analyse transactionnelle) ;
  • l'écoute active et empathique (la théorie centrée sur la personne de Carl Rogers) ;
  • l'EMDR ;
  • Tipi ;
  • la cohérence cardiaque.


On a regroupé ces thérapies sous le terme générique de thérapies brèves.
​Le qualificatif pourrait sembler malheureux car il caractérise la thérapie par l'une de ses propriétés les plus extrinsèques et les plus aléatoires... la durée du traitement.
Il a le mérite néanmoins de pointer une caractéristique commune à ces méthodes 
- le souci premier d'efficacité - et la motivation la plus profonde du patient : sortir le plus vite possible de sa souffrance.


​Ces méthodes ont hérité d'un des traits de la mentalité anglo-saxonne : le pragmatisme !
​Les thérapies brèves se caractérisent par leur souci du résultat doublé d'une moindre attention aux mécanismes, et par une anthropologie optimiste.
​Ces méthodes présentent toujours les mêmes traits communs :

  • une efficacité parfois très rapide ;
  • une efficacité indéniable, durable et attesté par des observateurs scientifiquement validés ;
  • une fréquente ignorance des mécanismes curatifs en jeu (ça fonctionne, on ne sait pas toujours expliquer pourquoi).


Si certaines de ces méthodes existent depuis plus de 20 ans, leur introduction en France est récente. Et on ne peut sous-estimer le rôle déclencheur singulier que joua l'ouvrage publié par David Servan-Screiber en 2003, "Guérir".
​Ce best-seller contribua beaucoup à la découverte et à la diffusion de thérapies comme l'EMDR ou la cohérence cardiaque.

​Et à contribuer à me donner le goût et l'envie de découvrir, d'apprendre et de pratiquer ces méthodes.

Découvrez de nouvelles méthodes de thérapies avec l'anthropologie optimiste


Alors que les psychothérapies traditionnelles focalisent leurs efforts sur la recherche des origines des difficultés psychologiques, les approches de la thérapie brève s'intéressent à la façon dont les problèmes se manifestent dans le présent, et utilisent le contexte, le système de vie actuel du sujet pour les résoudre. Elles s'articulent essentiellement autour d’un dialogue très actif entre le psy et le patient. Ce que nous nommons dans notre jargon "la co-création".

L’objectif est essentiellement pragmatique : identifier le problème du client ou de la famille/du couple, mettre à jour clairement et concrètement ce qui le fait souffrir, ici et maintenant pour rechercher ensemble l'intervention thérapeutique concrète permettant de le résoudre.
En thérapie brève c'est au thérapeute de s'adapter et comprendre l'univers, connaître les codes de la personne et pouvoir lui venir en aide le mieux possible. Albert Einstein disait : "
La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent".


Aujourd'hui il m'apparaît clairement que le but d'une thérapie doit être l'autonomie du sujet. L'aider à penser "mieux" pour s'adapter au monde d'aujourd'hui en restant libre et sincère.

La
thérapie brève fait partie de la thérapie cognitive et comportementale basée sur le déconditionnement, littéralement le désapprentissage des symptômes et des comportements ou mauvaises habitudes qui ne vous conviennent plus. Ainsi que sur l’apprentissage et la maîtrise de la relaxation, de l'acceptation de "ce qui est" (le fameux lâcher-prise) pour guérir nos traumatismes, nos peurs et nos angoisses. Aujourd'hui il m'apparaît clairement que le but d'une thérapie doit être l'autonomie du sujet. L'aider à penser "mieux" pour s'adapter au monde d'aujourd'hui en restant libre et sincère.


Les applications : Le champ d’application de la thérapie brève est immense. Exemples de soins :

  • Confiance en soi
  • Estime de soi
  • Stress / Anxiété
  • Insomnie / Fatigue
  • Tabac
  • Timidité, doute de soi
  • L'image de soi
  • Angoisses et phobies
  • Agressivité, Nervosité, Colère
  • Addictions, dépendance affective
  • Peur de vieillir
  • Echec Scolaire
  • Dépression légère
  • Difficultés relationnelles
  • Accompagnement de la femme enceinte
  • Deuil, séparation
  • Troubles alimentaires...


Il n'y a pas une construction de la réalité juste et une autre fausse. Il n'y en a pas une qui soit meilleure qu'une autre. Il y a simplement des constructions qui marchent et d'autres qui ne marchent pas selon l’objectif que l’on se fixe, qu'il s'agisse de chasser le dinosaure, d'envoyer des fusées sur Mars, de trouver l'âme sœur ou du travail.


Ce qui importe pour vivre et réaliser nos objectifs, c’est que nos connaissances conviennent à notre réalité et non pas qu'elles lui correspondent. Comme aucune vision du monde n'est meilleure ou plus juste qu’une autre, on ne peut être que respectueux de l’autre dont on sait que la vision du monde, la construction de la réalité, n’est pas plus vraie que la nôtre. C'est seulement si les autres ne respectent pas notre propre réalité que nous pouvons "au nom de la tolérance, revendiquer le droit de ne pas tolérer l'intolérance" (Karl Popper).
 

Et en conclusion : "La thérapie brève ne s'occupe pas de la maladie, mais de la personne en difficulté. Cette profession fonctionne - quelles que soient les techniques et les théories de référence - d'une part dans un lien éthique entre deux personnes et d'autre part en prenant soin du patient, par l'ascèse de ses praticiens, car bien au-delà de ses connaissances et quelle que soit sa pratique, le thérapeute soigne avant tout avec ce qu'il est, en oubliant ce qu'il sait.
Thérapeute est, tant en psychanalyse qu'en nouvelles thérapies et PNL, une profession non médicale distincte de la psychiatrie et de la psychologie scientifique." D. Panozzo

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