Comment soigner ses émotions ? Thérapeute à Boulogne-Billancourt

Stress, anxiété, dépression...

Optez pour une thérapie avec une spécialiste pour ses émotions négatives


En matière de records, on a connu mieux... d’après le magazine Psychologies, 21,4% des Français auraient consommé des médicaments psychotropes dans l’année. Trois fois plus que nos voisins européens.


Face à un tel constat, Psychologies et 15 grands médecins s’engagent contre l’abus d’antidépresseurs*, trop souvent donnés à la légère. Si parfois la prise de ces médicaments psychotropes est nécessaire voire vitale, la plupart du temps il existe d'autres solutions...


Voilà ce qu'en dit Christophe André, médecin psychiatre à l'Hôpital Sainte-Anne à Paris dans son chouette livre (que je vous conseille vivement !) "Et n'oublie pas d'être heureux ou Abécédaire de la psychologie positive" aux Éditions Odile Jacob.


Les antidépresseurs : Ils ne sont pas des "pilules du bonheur", malheureusement. J'écris "malheureusement" de manière consciente et délibérée : à certains moments, j'aimerais bien pouvoir offrir à certains de mes patients, particulièrement maltraités par la vie, la possibilité de souffler et de savourer.


Or ça ne marche pas comme ça. Les antidépresseurs ne rendent pas plus heureux, ne font pas synthétiser de la bonne humeur à notre cerveau, mais ils réduisent plutôt l'intensité de nos douleurs morales comme un antalgique réduit l'intensité de nos douleurs physiques.

Une thérapeute à l'écoute et disponible dans son cabinet, sur rendez-vous


Cependant, lorsque les antidépresseurs fonctionnent, et, chez certains patients, ils peuvent avoir un effet étonnant : ils peuvent donner une sorte d'aptitude à mieux savourer la vie, qui va au-delà de la diminution ou disparition des émotions négatives (dépressives ou anxieuses, car la plupart des antidépresseurs diminuent aussi, et nettement, l'anxiété).


Comme si cette suspension des douleurs de l'âme permettait de voir enfin, et beaucoup mieux qu'avant, la lumière du bonheur.


Du coup, il arrive que certains patients - malgré d'éventuels effets secondaires, malgré la gêne symbolique de "dépendre d'une pilule" - ne veuillent ou ne puissent plus arrêter ce traitement qui, en allégeant leurs douleurs, les rend plus faciles à combattre, et qui leur permet de regarder et savourer les belles choses de leur vie.


Ils nous demandent alors conseil : " que faire ? Continuer toute ma vie ou prendre le risque d'arrêter, tenter d'apprendre d'autres méthodes ? " Bien sûr, les deux sont possibles : continuer est plus facile (avaler un comprimé ne prend que quelques secondes), apprendre est plus intéressant et plus satisfaisant (mais cela prend des années).


Nous essayons toujours de proposer et de privilégier la seconde voie.

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